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Gabriel avait la réputation d’être un ange aux cheveux blond depuis son plus jeune âge.
Maintenant âgé de 20 ans, il avait décidé, avec son ami d’enfance Michel, de prendre un logement pour être au plus près de l’université.
Cela faisait 6 mois qu’ils étaient bien installés et vivaient leur vie d’étudiants, mélangeant études, soirées arrosées et petits boulots. Gabriel et Michel étaient amis depuis le collège.
Ils voulaient faire les mêmes études pour devenir ingénieurs.
Gabriel venait d’une famille traditionnelle catholique.
Ses parents l’avaient laissé partir seul, le cœur serré. Ils étaient vraiment attachés à Gabriel, qui était le deuxième enfant de la famille. Il avait une grande sœur qui avait déjà sa vie de famille et vivait dans une autre région.
Michel, lui, venait d’une famille où les parents étaient divorcés. Michel était fils unique et ses parents étaient assez aisés. Le père de Michel s’était remarié et n’avait plus beaucoup de contacts avec son fils. Quant à sa mère, c’était tout le contraire.
La mère de Michel se nommait Salomé, une superbe femme de 45 ans, mais qui en paraissait 10 de moins, et Salomé le savait et en jouait. Son corps bien sculpté faisait jalouser les femmes plus jeunes qu’elle.
Salomé avait les cheveux noirs, et ses lèvres pulpeuses ainsi que sa poitrine plantureuse étaient ses armes pour séduire les hommes. Salomé aimait les hommes plus jeunes qu’elle. Elle avait une relation assez fusionnelle avec son fils, lui laissant en général tout faire, et était souvent derrière lui.
Salomé appelait souvent Michel ou passait souvent chez les deux étudiants pour prendre des nouvelles, ou lui donner de l’argent, et autres etc…
Gabriel et Michel avaient une vie assez différente, l’un étant plus calme, réservé et studieux que son ami. Michel, quant à lui, préférait draguer les filles de son âge et faire la fête.
Lorsque Gabriel croisait la mère de Michel chez eux, ce dernier était intimidé par Salomé, par sa beauté. Salomé était toujours chaleureuse et très tactile avec lui, et elle était bien attentionnée.
Salomé était aussi très taquine et joueuse avec Gabriel. Salomé et Gabriel se connaissaient depuis que Gabriel et Michel fréquentaient la même école. L’amitié fut immédiate, Salomé voyant en Gabriel un garçon gentil, poli et serviable, un modèle en somme pour son fils. Salomé était une femme plus ouverte et libérée depuis sa séparation avec son ex-mari. Elle voulait que Michel soit comme elle, qu’il s’amuse et profite de la vie. Son ancienne vie de femme mariée était un calvaire pour elle.
Un jour de printemps, Salomé est passée à l’improviste, comme à son habitude, chez les deux jeunes hommes. Michel, en ce matin-là, était occupé à étudier dans sa chambre, tandis que Gabriel prenait tranquillement une douche.
Michel n’avait pas fermé à clé la porte d’entrée. Salomé entra et entendit l’eau couler sous la douche. Sans réfléchir, elle entra et se retrouva face à Gabriel qui lavait son pénis sous la douche. Seule la paroi transparente les séparait. Salomé s’excusa sur le moment et lâcha une petite blague : ‘Oups, désolé Gabriel, je ne savais pas que tu étais si bien bâti. Les filles doivent en avoir de la chance.’ Puis elle ressortit au ralenti, continuant à regarder le jeune corps de Gabriel.
Gabriel se dépêcha de se rincer lorsque Salomé entra à nouveau. Elle s’avança vers Gabriel et se baissa pour lui tendre son essuie de bain. En s’abaissant, Salomé montrait son décolleté. L’entrejambe de Gabriel réagit immédiatement. Salomé lui sourit et lui dit : ‘Tu es mignon et à croquer.’ Gabriel fut vraiment gêné par cette réflexion.
Le soir venu, Gabriel ne parla pas de l’histoire avec la mère de Michel. Dans son lit, Gabriel repensait à ce début de poitrine qui lui avait été montré par Salomé plus tôt dans la journée.
Gabriel se masturbait le soir dans son lit en s’imaginant faire l’amour avec Salomé.
Quelques semaines plus tard, Salomé s’était arrangée avec Michel pour pouvoir loger dans sa chambre le soir. Michel dormait chez sa copine du moment, et Salomé avait une soirée dans le coin ; pour ne pas avoir à faire de la route, elle avait demandé à dormir chez Michel. Gabriel était cette fois au courant. Le soir venu.
Michel était chez sa copine, Julie, une jeune femme de 20 ans. Après une petite soirée plus ou moins romantique, Michel passa aux choses sérieuses avec la petite bycasino Julie, une jeune brune au look très girly. Ils étaient allongés tranquillement dans le lit de Julie. Elle portait un petit soutien-gorge blanc avec des bretelles croisées dans le dos, et Michel se trouvait juste en dessous. Julie décrafa d’une seule main son soutien-gorge, et deux seins de tailles moyennes, mais qui tenaient chacun dans une main, se secouaient au soulèvement du soutien-gorge.
Michel, dû à son jeune âge, était impatient de passer à l’acte, faisant des raccourcis aux préliminaires. Julie ne voulait pas en rester là ; elle se baissa pour que Michel lui touche et suce les seins. Michel lui lécha les seins pour lui faire plaisir. Sous la couette, Michel, excitée, était déjà en érection. Il enleva la petite culotte de Julie rapidement et la pénétra avec force ; le vagin de Julie était tout serré. Elle gémissait. Mais cela ne dura pas longtemps. Michel ne tenait pas le rythme. Julie était frustrée que cela aille si vite, n’ayant pas eu le temps de profiter et de jouir également. Elle lui proposa une fellation et ils recommencèrent à faire l’amour toute la nuit.
À une dizaine de kilomètres de là, Salomé passait la soirée chez un couple d’amis, Marie et Jean, qui avaient plus ou moins le même âge qu’elle, et le couple venait d’avoir un bébé sur le tard. La maman allaitait encore son bébé. Au fil du repas, verre après verre, la soirée était joyeuse et il se faisait tard. Jean décida de laisser sa femme seule avec Salomé et d’aller se coucher en même temps que leur bébé. Ils avaient prévu le coup d’avance ; Marie avait tiré son lait pour la nuit et le lendemain, sachant qu’elle allait boire le soir.
Il est environ 23h, les deux femmes sont dans le salon, installées dans le canapé avec un verre de vin à la main. Elles parlaient du passé, de leur quotidien, de la joie et de la fatigue d’être mère. Au fil de la soirée, l’alcool aidant, elles abordent le sujet de l’allaitement. Salomé demande à Marie comment se passe l’allaitement avec son bébé, car cela lui rappelle des souvenirs lorsqu’elle allaitait Michel.
Marie remplit à nouveau son verre de vin et expliqua que son bébé la sollicitait souvent en souriant, et que depuis, Jean ne s’occupait plus de ses seins comme avant.
Salomé lui dit en plaisantant : ‘Ma pauvre, il devrait être content d’avoir des obus comme les tiens et c’est dommage de ne pas en profiter pour goûter et boire.’ ‘Moi, je me rappelle d’avoir goûté mon lait à l’époque de Michel, bébé, quand il prenait le sein.’
Salomé finit son verre de vin.
Puis Marie dit : ‘Regarde, c’est l’heure.’ en sous-pesant un sein. ‘Ils sont bien remplis.’ Marie déposa son verre sur la table du salon et s’empressa de baisser son bustier et d’ouvrir le bonnet de son soutien-gorge d’allaitement. Son gros sein, large et parcouru de veines bleues, se présentait à Salomé. Du lait commençait à perler et s’égoutter.
Marie prit son sein en main. « Regarde, Salomé, il demande à être vidé. Tu m’aides, s’il te plaît? En souvenir du bon vieux temps. » Salomé caressa la main de Marie, avant de s’approcher du sein de son amie.
Elle commença par donner quelques coups de langue bien placés sur le téton en érection, prit le sein entre ses deux mains, puis pressa le mamelon, plusieurs jets de lait en sortirent. Salomé récoltait ce qu’elle pouvait dans sa bouche avant de mettre le sein en bouche et de téter avec gourmandise. Marie, qui avait les yeux fermés, jubilait et lui dit : ‘Merci ma chérie, tu n’as pas perdu la main. Jean en serait jaloux s’il l’apprenait. Continue, je t’en prie, il y en a un autre qui t’attend, bien au chaud.”
Salomé pompait le sein encore et encore, le lait débordait de sa bouche. Elle dit à Marie que son lait avait vraiment bon goût. Lorsque Marie découvrit son second sein, dont le lait commençait également à couler à flot, Salomé s’empressa de téter ce deuxième sein juteux et rempli de nectar blanc. Marie, les yeux toujours fermés, savourait ce moment, cela lui rappelait ses nuits torrides avec Salomé lors de leurs années universitaires. Marie appuya sur la tête de Salomé pour qu’elle suce encore plus fort son sein.
Salomé comprit le message et s’activa, aspirant le mamelon et le pétrissant en même temps. Marie avait ses mains dirigées vers le débardeur de Salomé, lui malaxant la poitrine à travers le léger tissu rouge. Elle releva le vêtement bycasino deneme bonusu ; son soutien-gorge rouge vif n’attendait qu’à être enlevé. Marie lui décracha le soutien-gorge dans le dos, où ses seins étaient compressés et débordaient à l’intérieur.
Deux seins bien ronds et galbés en sortirent ; Marie commença à les caresser, puis les pétrissait entre ses mains, trop petites pour un seul sein. Puis elle lui pinça les tétons.
Salomé savourait ce moment, d’anciennes sensations avec Marie lui revenaient. Les deux femmes s’embrassèrent chaleureusement, leurs mains s’entrelaçant pour mieux s’échanger leurs baisers passionnés. Salomé poussa Marie sur son canapé, les seins de Marie rebondissant à ce moment-là. Marie se retrouva allongée, attendant d’être encore plus satisfaite par Salomé. Salomé lui écartait les cuisses en lui disant : ‘En souvenir de notre jeunesse, Marie.’ Salomé lui lécha son vagin brun touffu, fouillant bien à l’intérieur avec sa langue et ses doigts.
Marie tenait Salomé par les cheveux, lui demandant d’aller plus vite. Salomé, lécha plus vite et plus fort, elle avait aussi à nouveau saisi les seins de Marie pour en faire expulser du lait. Marie gémissait tellement et poussait des cris si forts, qu’elle réveilla son bébé qui pleurait pour toute la maison. Jean cria alors de leur chambre. “Marie, bébé n’est pas bien viens vite.” Salomé et Marie durent interrompre leur ébat coquin.
Salomé dut laisser Marie revenir à sa dure réalité et à ses occupations de maman. Puis elle décida de rentrer. Après avoir trop bu, elle appela un taxi qui la conduisit jusqu’à l’appartement de Michel et Gabriel. Salomé monta les marches avec difficulté, titubant dans le couloir avant d’arriver devant la porte. Une fois le pas de la porte franchi, elle se dirigea vers la chambre de Gabriel sans réfléchir, avançant à tâtons. Gabriel dormait profondément dans son lit.
Le pauvre jeune homme venait de passer une journée épuisante. Après ses cours, il avait enchaîné avec un petit job d’étudiant pour payer sa part du loyer et les à-côtés de la vie étudiante. La chambre était dans l’obscurité, et seule une légère lumière venant de l’extérieur éclairait l’intérieur de la petite pièce. Salomé se déshabilla complètement et plongea sous les draps du lit, ne voyant pas Gabriel à l’intérieur. Elle pensait toujours qu’elle était dans la chambre de son fils.
Le pauvre jeune homme venait de passer une journée épuisante. Après ses cours, il avait enchaîné avec un boulot d’étudiant pour payer sa part du loyer et les à-côtés de la vie d’étudiant. La chambre se trouvait dans le noir, il y avait juste une légère lumière venant de l’extérieur, qui éclairait l’intérieur de la petite pièce. Salomé se déshabilla complètement et se glissa sous les draps du lit, ne voyant pas Gabriel à l’intérieur, pensant toujours être dans la chambre de son fils.
Et instinctivement, elle se colla à Gabriel, qui ressentit dans son dos deux grosses masses comprimées. Salomé passa un bras autour du cou de Gabriel, puis sa jambe enjamba celle de Gabriel. Gabriel sursauta, surpris d’avoir une présence dans le dos.
Il se retourna et se retrouva face à Salomé, à moitié endormie et complètement nue. De là, Gabriel sentit la main de Salomé sur son entrejambe. Ne sachant quoi faire, gêné par la situation, il secoua légèrement l’épaule de Salomé.
Jamais Gabriel n’aurait pensé vivre une telle situation aussi inattendue. Salomé dit alors à Gabriel : ‘Bonjour, mon ange, comme tu es beau, j’ai envie de toi, saute-moi.’ Salomé se leva et plaça Gabriel sur son lit. Elle commença à l’embrasser. Gabriel, complètement désabusé, ne savait pas quoi faire sur le moment et se laissa finalement faire, échangant des baisers avec Salomé, qui, dans son élan, continua ses baisers plus bas en descendant sur le corps du pauvre Gabriel.
Elle descendit au niveau du torse musclé et imberbe de Gabriel, le caressa et l’embrassa. Puis elle descendit encore plus bas, au-dessus de son pyjama, caressant l’intérieur de son paquet sur le point de bander. Ensuite, elle lui enleva son pyjama, et le sexe de Gabriel se redressa comme un ressort. Salomé prit le pénis d’une main, décapota le membre avant de le sucer, tout en accompagnant le mouvement de sa main au rythme de sa bouche, qui montait et descendait ainsi de suite. Sa deuxième main tenait les testicules de Gabriel. Les faisant balancer bycasino güncel giris de gauche à droite, Gabriel essayait de tenir bon, tant Salomé stimulait son membre avec expertise jusqu’au fond de sa gorge.
Elle s’arrêta un moment, saisit le pénis pour le déposer entre ses seins et débuta une branlette espagnole de toute beauté. Salomé demanda à Gabriel si une femme lui avait déjà fait plaisir entre ses seins. ‘Non, madame, mais que va dire Michel s’il l’apprend?’ ‘Il n’est pas obligé de le savoir, ça sera notre petit secret, rien qu’à nous deux.’
Elle continua la masturbation entre ses seins tout en suçant son pénis en même temps. Gabriel agrippait ses draps, tant Salomé lui procurait du plaisir. Gabriel éjacula dans la bouche de Salomé, qui avala goulûment le tout, en poussant un cri de délivrance juste avant. Salomé dit à Gabriel que c’était vraiment délicieux. Salomé n’avait pas l’intention de s’arrêter là. Quelques heures plus tôt, elle n’avait pas pu prendre son pied avec Marie. Elle redressa Gabriel et ils se retrouvèrent à genoux, l’un en face de l’autre.
Salomé se tenait en face de Gabriel, ses longs cheveux lisses et noirs retombant sur le devant de son visage. Gabriel, face à elle, lui remit les cheveux en place et lui dit : ‘Je vous ai toujours trouvée très belle, Salomé. J’ai toujours eu envie de vous.’ Salomé ne lui laissa pas le temps de finir sa phrase ; elle se jeta à nouveau sur lui pour l’embrasser.
Par la suite, elle lui saisit les mains pour les placer sur ses seins. Gabriel avait les seins de Salomé en main. Il les massa doucement et tendrement au début. Lorsque Salomé lui ressaisit son sexe pour le masturber à nouveau, Gabriel, excité par les mouvements envoûtants de la main de Salomé, accéléra aussi son massage des seins. Il les malaxa plus énergiquement, malgré le fait que les seins débordaient de ses mains.
Ensuite, par instinct, il les lécha pour finir par les sucer et téter. Salomé lui dit : ‘Que c’est bon, mon petit, continue.’ Salomé gémissait à son tour, elle saisit l’une des mains de Gabriel ¹pour l’amener vers son entrejambe. Gabriel, qui n’avait pas beaucoup d’expérience avec les femmes, était entre les mains d’une experte. La main de Gabriel était proche du vagin de Salomé, qui était entièrement rasé et douce. Ses doigts effleurèrent l’entrée humide, puis un doigt frotta la vulve. Il écartait les deux lèvres gonflées, roses, et son doigt commença à s’introduire dans l’orifice chaud de Salomé, allant et revenant de plus en plus vite. Salomé appréciait vraiment le doigté de Gabriel.
Gabriel continuait à sucer avec gourmandise ses gros seins tout excités, tout comme leur propriétaire. Salomé, qui commençait à prendre du plaisir, lui dit : ‘C’est très bien, mon petit, viens maintenant goûter à mon petit minou tout chaud et mouillé.’
Salomé s’allongea sur le lit et Gabriel s’approcha de son vagin. Salomé écarta ses deux lèvres pour guider Gabriel. Celui-ci mit d’abord son nez pour renifler l’odeur du vagin humide, puis il en lécha le contour avec sa langue. Il fouilla plus en profondeur avec sa langue et avec ses doigts, qui participaient également aux plaisirs de Salomé. Il réussit à la faire jouir. Salomé finissait de jouir en se pinçant les tétons. Le pénis de Gabriel reprit de la vigueur. Salomé, en voyant cela, dit à Gabriel de la prendre maintenant ; elle voulait sentir un jeune pénis dans son vagin. Salomé écarte ses cuisses, et le jeune ange se positionna devant l’entrée charnelle qui attendait d’être pénétrée.
Gabriel prit l’initiative d’embrasser Salomé. Par ce simple geste, son sexe, droit comme un i, s’introduisit dans le vagin chaud et humide. Tout excité, Gabriel commença à bouger ses hanches. Il commença par bouger lentement, puis accéléra progressivement. Salomé, atteignant doucement l’apogée de son plaisir, gémissait de plus en plus fort. Gabriel finit par éjaculer, libérant ainsi toute la pression accumulée, et Salomé connut à son tour l’orgasme. Gabriel s’effondra sur les seins de Salomé, les léchant et les suçant une dernière fois avant de s’endormir. Salomé observait tendrement le visage de Gabriel, éclairé par la lumière extérieure qui pénétrait dans la chambre, lui donnant l’impression d’avoir une auréole sur la tête. Le lendemain matin, Gabriel se réveilla seul dans son lit. Il repensait à la soirée torride passée avec Salomé, doutant que ce fût un rêve ou la réalité.
Deux semaines plus tard, Michel partit en week-end avec sa copine Julie et laissa à nouveau Gabriel seul à l’appartement.
Il était environ 22h30, et Gabriel était seul devant la télé du salon. Puis on sonna à sa porte. Il se leva pour aller ouvrir, et, surprise, Salomé se trouvait devant la porte, accompagnée de Marie.
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